Là-bas est un espace imaginaire destiné à exister de manière allusive, fragmentaire, lacunaire.
L’exposition s’est élaborée par strates et était perçue comme un moment de ce processus et non comme un aboutissement.
Chaque objets fonctionne autant pour lui-même que relié de manière elliptique à l’ensemble des éléments présents dans l’espace.
Les objets mis en interaction procèdent pour une part de métaphores évidentes et pour une autre d’un inconscient qui recèle fantasmes et hantises.
Nous trouvons des volumes et des dessins (fixes ou animés) qui prennent comme point de départ des documents photographiques existants.
Ils représentent des fragments de notre réalité. Dessins de la disparition et de la mémoire historique, des catastrophes humaines ou naturelles, ils évoquent aussi les utopies d’un devenir.